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Avec Lindner, L. Gouraige

semble être la mienne pourtant je ne l’ai pas connue. Nos temps se mêlent et se confondent. Lindner est totalement ici et maintenant.
Mon événement à moi, la découverte d’une vie autre avec Lindner, j’aimerais qu’il soit celui de tous. J’aimerais qu’il éveille les endormis de vingt ans, les anxieux de trente ans, les sages de tous les âges, qu’il exalte ceux qui n’ont pas encore vu. Voilà pour moi, l’objet du site. Voilà pourquoi nous ne pouvions pas faire autrement. Quels chemins incroyables parcourons-nous, pénétrés par le vrai ! C’est une rencontre exceptionnelle avec Claudia Loyall pour recréer, ici, une continuité. Que l’œuvre jamais ne s’arrête, qu’elle se lie aux mouvements de notre temps. Aujourd’hui celui d’Internet, demain ailleurs. Que jamais elle ne s’arrête. L’immersion fut intense, dans l’univers du peintre, dans son histoire, une manière de l’interroger continuellement sur la forme que prendrait son monde numérique. Parler de lui et garder cette sobriété et cette élégance qui lui soient propres. Parfois on se sent comme un intrus, en bouleversant l’intimité de l’artiste mais c’est la force de l’œuvre de nous capter   et   de   nous  rendre  familiers  du  trait.  Comme  si   nous   avions   toujours  été  là.  Parcourir   les   archives,

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nous avions toujours été là. Parcourir les archives, s’émerveiller devant sa vie, observer un détail, retrouver l’esquisse de la peinture, comprendre le parcours et trouver la photographie de l’œuvre en cours, c’est un chemin unique et inoubliable qui m’a unie à Lindner. Les jours passés chez lui, dans son atelier, les soirées à parler de lui, dans son atelier, les catalogues sur lui, dans son atelier, comment ne pas penser alors que je suis avec lui, dans son atelier ?
Jamais je n’aurais connu son œuvre avec une telle profondeur, si elle ne m’avait pas été offerte par l’amie. Je m’y suis glissée avec une curiosité enfantine, celle qui découvre tout et qui apprend tout. J’ai donc tout découvert et j’ai tout appris pour retransmettre ici, en cet espace virtuel, un peu de mon émerveillement. Nous avons élaboré chaque page portées par le travail de Lindner, chaque décision guidée par une précision absolue, chaque ligne graphique pensée à travers son trait, jamais le site ne s’est construit à son insu.
J’avance avec sa présence, rassurée que le peintre ait existé. Nous nous immisçons dans son sillage, mais cette voie déjà il l’avait dessinée parce que l’engagement de la toile est infini. Chaque  regard  posé  sur  son travail est un regard nouveau.

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semble être la mienne pourtant je ne l’ai pas connue. Nos temps se mêlent et se confondent. Lindner est totalement ici et maintenant.
Mon événement à moi, la découverte d’une vie autre avec Lindner, j’aimerais qu’il soit celui de tous. J’aimerais qu’il éveille les endormis de vingt ans, les anxieux de trente ans, les sages de tous les âges, qu’il exalte ceux qui n’ont pas encore vu. Voilà pour moi, l’objet du site. Voilà pourquoi nous ne pouvions pas faire autrement. Quels chemins incroyables parcourons-nous, pénétrés par le vrai ! C’est une rencontre exceptionnelle avec Claudia Loyall pour recréer, ici, une continuité. Que l’œuvre jamais ne s’arrête, qu’elle se lie aux mouvements de notre temps. Aujourd’hui celui d’Internet, demain ailleurs. Que jamais elle ne s’arrête. L’immersion fut intense, dans l’univers du peintre, dans son histoire, une manière de l’interroger continuellement sur la forme que prendrait son monde numérique. Parler de lui et garder cette sobriété et cette élégance qui lui soient propres. Parfois on se sent comme un intrus, en bouleversant l’intimité de l’artiste mais c’est la force de l’œuvre de nous capter   et   de   nous  rendre  familiers  du  trait.  Comme  si   nous   avions   toujours  été  là.  Parcourir   les   archives,

nous avions toujours été là. Parcourir les archives, s’émerveiller devant sa vie, observer un détail, retrouver l’esquisse de la peinture, comprendre le parcours et trouver la photographie de l’œuvre en cours, c’est un chemin unique et inoubliable qui m’a unie à Lindner. Les jours passés chez lui, dans son atelier, les soirées à parler de lui, dans son atelier, les catalogues sur lui, dans son atelier, comment ne pas penser alors que je suis avec lui, dans son atelier ?
Jamais je n’aurais connu son œuvre avec une telle profondeur, si elle ne m’avait pas été offerte par l’amie. Je m’y suis glissée avec une curiosité enfantine, celle qui découvre tout et qui apprend tout. J’ai donc tout découvert et j’ai tout appris pour retransmettre ici, en cet espace virtuel, un peu de mon émerveillement. Nous avons élaboré chaque page portées par le travail de Lindner, chaque décision guidée par une précision absolue, chaque ligne graphique pensée à travers son trait, jamais le site ne s’est construit à son insu.
J’avance avec sa présence, rassurée que le peintre ait existé. Nous nous immisçons dans son sillage, mais cette voie déjà il l’avait dessinée parce que l’engagement de la toile est infini. Chaque  regard  posé  sur  son travail est un regard nouveau.

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